Quels sont les quartiers où il est encore possible de faire des bonnes affaires dans la Ville rose ?

Publié le 28 mars 2019

À l’occasion de la 53ème édition du salon de l’immobilier qui a eu lieu le week-end dernier au Parc des Expositions, la Chambre interdépartementale des Notaires de la cour d’appel de Toulouse a publié ses derniers chiffres concernant l’immobilier ancien. Bilan ? La Ville rose affiche une hausse de +0,7% sur les prix des appartements anciens pour l’année 2018. Si certains quartiers ont flambé, d’autres sont encore abordables. Explications.

À l’occasion de la 53ème édition du salon de l’immobilier qui a eu lieu le week-end dernier au Parc des Expositions, la Chambre interdépartementale des Notaires de la cour d’appel de Toulouse a publié ses derniers chiffres concernant l’immobilier ancien. Bilan ? La Ville rose affiche une hausse de +0,7% sur les prix des appartements anciens pour l’année 2018. Si certains quartiers ont flambé, d’autres sont encore abordables. Explications.

À l’occasion de la 53ème édition du salon de l’immobilier qui a eu lieu le week-end dernier au Parc des Expositions, la Chambre interdépartementale des Notaires de la cour d’appel de Toulouse a publié ses derniers chiffres concernant l’immobilier ancien. Bilan ? La Ville rose affiche une hausse de +0,7% sur les prix des appartements anciens pour l’année 2018. Si certains quartiers ont flambé, d’autres sont encore abordables. Explications.

Une grande ville accessible

Si on compare la Ville rose à d’autres grandes agglomérations françaises, “Toulouse n’est pas une ville chère” selon Philippe Pailhès, président de la Chambre interdépartementale des Notaires. Avec un prix moyen au mètre carré de 2610€ pour les appartements anciens, c’est bien moins que d’autres villes du Sud telles que Bordeaux (4230€/m²), Nice (3670€/m²) ou encore Lyon (3910€/m²).

Même si ce prix médian reste raisonnable, il affiche toutefois quelques disparités. D’un quartier à l’autre, les prix peuvent ainsi doubler. C’est notamment le cas pour des quartiers en hypercentre tels que “Les Chalets” qui a connu une hausse de +8,5% en 2018 (4140€/m²), ou Saint-Georges (+2,3%) avec un prix médian de 4560€ le mètre carré. Cette flambée est toutefois compensée par d’autres quartiers dont les prix sont inférieurs à la moyenne enregistrée à Toulouse, notamment lorsqu’on s’éloigne un peu plus de l’hypercentre.

Les quartiers toulousains où les prix ont baissé

Parmi les quartiers de la Ville rose ayant enregistré une baisse de leur prix en 2018 et où il est intéressant d’investir dans l’immobilier, les suivants sont à surveiller de près :

  • Barrière de Paris (-1,3%, 2220€/m²) qui accueillera la future 3ème ligne de métro au nord de son secteur, desservant les zones d’activités de Labège à Colomiers.
  • Marengo-Jolimont (-4,6%, 2560€/m²) pour sa proximité immédiate avec la Gare Toulouse-Matabiau et le futur quartier Toulouse EuroSudOuest
  • Casselardit (-0,8%, 2620€/m²) accueillant le nouvel écoquartier de la Cartoucherie, desservi par le tramway, proche du centre-ville, des bassins d’emploi du CHU de Purpan et du pôle aéronautique de Blagnac.
  • La Roseraie, qui a connu la plus forte baisse (-15,8%), affichant désormais un prix médian au mètre carré de 1790€. Une aubaine pour un quartier desservi par le métro et proche du centre-ville.

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