Bilan des chiffres immobiliers en Haute-Garonne

Publié le 30 octobre 2020

La chambre des notaires de Toulouse a récemment présenté ses chiffres de l’immobilier pour la période entre juillet 2019 et fin juin 2020. Décryptage.

Maisons anciennes : des écarts de prix selon les communes

Les prix des maisons anciennes ont progressé cette année en raison du confinement. Le prix médian à Toulouse est désormais de 369 500€, soit une hausse de presque +9% par rapport à l’année dernière.

Concernant les communes de son aire urbaine, des fortes disparités sont à noter. Parmi les villes les plus accessibles, on peut citer Villemur-sur-Tarn (169 900€), Revel (166 200€) et Rieux-Volvestre (155 000€).

À contrario, les communes de Balma (463 500€), Tournefeuille (360 200€) et Blagnac (352 600€) sont celles qui présentent les prix les plus élevés.

La commune de Saint-Jory a connu quant à elle la plus forte hausse, +19,8 %, pour un prix médian de 239 500 €. À l’inverse, Carbonne affiche la baisse de prix la plus conséquente (-13,1%), avec un prix médian de 190 500€.

Appartements anciens : Toulouse n’est pas la ville la plus chère

Le prix au m2 dans la Ville rose pour les appartements anciens s’élève à 2900€, soit une hausse de +8,4% sur un an. Pour autant, ce n’est pas la préfecture de la Haute-Garonne qui affiche le prix le plus élevé, mais Balma, avec un prix de vente médian de 3180 euros du m².

Pour espérer acheter à moins de 2000m² dans le département, il faut se tourner vers les communes de Saint-Lys (1660 euros / m²), Castelnau-d’Estrétefonds (1730 euros / m²) ou encore Muret (1820 euros / m²).

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